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Nouvelle Phénicie - Les Phéniciens
Suivre les Phéniciens, c'est d'aller d'un bout à l'autre de la Méditerranée . L'itinéraire commence sur les côtes du Levant dans la plaine où naquirent et se développèrent des villes de la Phénicie comme Tyr et Sydon. IL faut ensuite cingler vers Chypre, l île du cuivre , si proche qu'elle en est parfois visible de la rive du Proche-Orient ; là plus qu'ailleurs se mélangèrent les populations de Lorient méditerranéen.
Au-delà, les chemins de la mer se compliquent en se diversifiant . Faut-il aller tout droit vers l'ouest en doublant la Crète ou est-il préférable de déambuler à travers la mer Egéen faisant une halte prolongée à Rhodes à la recherche des phéniciens présenst aux côtes des Grecs ? La litterature grecque nous assure qu'ils fréquentèrent les îles de l Egée et poussérent même jusqu à LA Grèce continentale mais les indices sont tenus.
Au-delà, les chemins de la mer se compliquent en se diversifiant . Faut-il aller tout droit vers l'ouest en doublant la Crète ou est-il préférable de déambuler à travers la mer Egéen faisant une halte prolongée à Rhodes à la recherche des phéniciens présenst aux côtes des Grecs ? La litterature grecque nous assure qu'ils fréquentèrent les îles de l Egée et poussérent même jusqu à LA Grèce continentale mais les indices sont tenus.
Aux abords de l'Occident la s'éclaire. Que l'on arrive d'abord dans la baie orientale de Malte ou au fond des golfes d'Utique et de Carthage , la rencontre avec l'élément Phénicien ne se fait pas attendre . Il en est de même sur la pointe de Sicile qui plonge vers le couchant et porte aujourd'hui les vignobles de Marsala " aux Lourdes grappes ".
Puis, c'est l'immensité d'une Méditerranée qui prend des airs d'Océan. Si l'on veut donc poursuivre, il faut contourner l'obstacle et remonter vers le nord et les côtes sardes . Le détour n'est pas sans intérêt : la Sardaigne est une Île de métal , une autre Chypre égarée entre Carthage et Marseille : voilà le trait d'union naturel entre la Méditerranée centrale et les ravages d'Ibiza et de l'Andalousie.
On se croirait enfin arriver. Ce n'est qu'une illusion car il y a deux Andalousies . Celle de l'est - la méditerranée – s'étire le long de la côte de Malaga , au pied des hauteurs de la Sierra Nevada . pour atteindre l'autre Andalousie, il faut franchir Gibraltar et s'aventurer hors de la Méditerranée et les Phéniciens ont eu cette audace avant les Grecs, sachant l'intérêt de fréquenter le monde indigène de Huelva; le marchand de la ville phénicienne de Tyr rencontrait les routes atlantiques à Cadix , aux confines du monde d'alors.
Nous aurions dû , nous aussi , parcourir plus assidûment d'autres ravages, ceux de Madère et des Canaries, ceux de la côtes Marocains de Mogardor, ceux des plaines d'Oran et de lîlot de Rachgoun. Mais le chercheur est un voyageur prudent qui doit savoir faire escale et tirer ses barques au sec lorsqu'il n'est pas sûr de la route à suivre .
En dépit des lacunes, l'aventure méditerranéenne des phéniciens apparât en pleine lumière aux côte de celle des Grecs, plus souvent à l'honneur. Entre Grecs et Phéniciens c'est déjà un dialogue entre le Nord et le Sud.
L'Hellénique Cyrène est isolée sur la côte d'Afrique comme la Sardaigne phénicienne l'est dans un basin tyrrhénien essentiellement grec. Il y eut toutefois des lieux privilégiés par l'Histoire , comme l'île d'Ischia près du golfe de Naples, où les cultures Phéniciennes et Grecques se côtoyèrent…
L'Egypte...., y avait établi une série de protectorats et les contacts entre la Phénicie et la vallée du Nil furent longtemps réguliers jusqu'a l'arrivée des Assyriens sur la côte méditerranéenne, vers 1100 avant JC
Puis, c'est l'immensité d'une Méditerranée qui prend des airs d'Océan. Si l'on veut donc poursuivre, il faut contourner l'obstacle et remonter vers le nord et les côtes sardes . Le détour n'est pas sans intérêt : la Sardaigne est une Île de métal , une autre Chypre égarée entre Carthage et Marseille : voilà le trait d'union naturel entre la Méditerranée centrale et les ravages d'Ibiza et de l'Andalousie.
On se croirait enfin arriver. Ce n'est qu'une illusion car il y a deux Andalousies . Celle de l'est - la méditerranée – s'étire le long de la côte de Malaga , au pied des hauteurs de la Sierra Nevada . pour atteindre l'autre Andalousie, il faut franchir Gibraltar et s'aventurer hors de la Méditerranée et les Phéniciens ont eu cette audace avant les Grecs, sachant l'intérêt de fréquenter le monde indigène de Huelva; le marchand de la ville phénicienne de Tyr rencontrait les routes atlantiques à Cadix , aux confines du monde d'alors.
Nous aurions dû , nous aussi , parcourir plus assidûment d'autres ravages, ceux de Madère et des Canaries, ceux de la côtes Marocains de Mogardor, ceux des plaines d'Oran et de lîlot de Rachgoun. Mais le chercheur est un voyageur prudent qui doit savoir faire escale et tirer ses barques au sec lorsqu'il n'est pas sûr de la route à suivre .
En dépit des lacunes, l'aventure méditerranéenne des phéniciens apparât en pleine lumière aux côte de celle des Grecs, plus souvent à l'honneur. Entre Grecs et Phéniciens c'est déjà un dialogue entre le Nord et le Sud.
L'Hellénique Cyrène est isolée sur la côte d'Afrique comme la Sardaigne phénicienne l'est dans un basin tyrrhénien essentiellement grec. Il y eut toutefois des lieux privilégiés par l'Histoire , comme l'île d'Ischia près du golfe de Naples, où les cultures Phéniciennes et Grecques se côtoyèrent…
L'Egypte...., y avait établi une série de protectorats et les contacts entre la Phénicie et la vallée du Nil furent longtemps réguliers jusqu'a l'arrivée des Assyriens sur la côte méditerranéenne, vers 1100 avant JC
Envoyé de mon iPad jtk
